the steps necessary to convert an everyday office into a workspace that promotes color accuracy

Getting your colors right may mean dimming the lights



A few years ago, the computer age allowed photographers to escape the darkroom. Ironically, newly released, rigid viewing standards are pushing the photography, graphic arts, and publishing industries toward the need to lower the lights for entirely different reasons.

It's not uncommon for desktop publishers in corporate environments to set up digital imaging computers in offices awash in fluorescent and window light. That approach, after all, saves money. But it does so at the expense of precise color image editing. Seasoned color editors agree that the most effective work space for critical computer editing of photography actually is a specially designed, darkened room -- in which the overall illumination is lower than the brightness output of the computer monitor.


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the steps necessary to convert an everyday office into a workspace that promotes color accuracy




In the first installment of this two-part article, we made the case for turning down the lights in computer editing rooms for graphic artists and photographers who need more-accurate color. Getting your workspace right for color-accurate situations may also require toning down the colors of walls, counters, and even monitor desktop color schemes. In this second installment, we'll give you the information you need to turn your own office into a proper "digital" darkroom, or at least to move it in the right direction.


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lightboxes / viewing booths / caissons de visualisation : du nouveau… les tubes fluorescents équilibrés (color balanced fluorescent tubes)

"Some research on the Internet told us that color corrected lighting technology has improved recently and that properly color balanced fluorescent tubes are now available that would meet the PSA specifications for lighting color prints"






http://www.cranburydigitalcameraclub.org/pages/lightbox.php

L'effet superstar est un phénomène économique à partir de la question « Pourquoi un nombre réduit de personnes domine-t-il un champ économique ? »

L'effet superstar est un phénomène économique étudié par Sherwin Rosenref, à partir de la question suivante « Pourquoi un nombre réduit de personnes domine-t-il un champ économique en gagnant énormément d'argent ? »

Pour Rosen, de petites différences de talents parmi les meilleurs se traduisent en grandes différences de revenus. En effet les personnes plus talentueuses vendent leur travail un peu plus cher, mais vendent de très grandes quantités. De ce fait « leurs revenus viennent avant tout de la vente en grande quantité plutôt que de prix plus élevés ». Robert Frank et Philip Cook ont popularisé le débat sur les conséquences perverses de l'effet superstar dans un livre intitulé The Winner-Take-All Society. Ils y fustigent la société de marché où le gagnant "ramasse toute la mise".

En économie, l'effet superstar est souvent étudié en combinaison avec l'effet longue traîne, par exemple dans l'étude du marché de la musique.

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Conséquences culturelles et économiques de l'effet longue traîne

La longue queue peut avoir d’importantes conséquences culturelles et économiques. Quand le coût d'opportunité (stockage et distribution) est élevé, seuls les produits qui concentrent le maximum d'achats sur un faible nombre de titre sont vendus, mais ne touche que très imparfaitement l'ensemble du marché potentiel. Quand l’effet longue queue se vérifie, la totalité du marché potentiel est accessible, les blockbusters et les goûts minoritaires sont aussi satisfaits et les individus ont un plus grand choix. La télévision en offre un bon exemple : chaque chaîne dispose d’un temps limité de diffusion (24 heures maximum par jour), donc le coût d’opportunité de chaque tranche horaire est élevé ; les chaînes choisissent donc le programme qui potentiellement rassemblera le plus de monde. Mais lorsque le nombre de chaînes augmente, ainsi que leurs moyens de diffusion (chaînes hertziennes, par satellite, par câble, par ADSL, TNT), il est virtuellement possible de proposer des programmes plus variés.

Certaines des plus grandes réussites sur Internet ont ouvertement pris en compte la longue queue dans leur modèle économique. On peut citer eBay, Yahoo!, Google, Amazon.

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Formation Illustrator - niveau 1 Illustrator

Formation Illustrator - niveau 1

Illustrator est un logiciel de dessin vectoriel, appartenant à la suite Adobe, incontournable dans le milieu professionnel du graphisme. Il permet de réaliser des illustrations, logos, tracés et mises au net.

Quand et où ? les 28 et 30 juin 2010 dans les locaux de 1-position à Namur.

Davantage de renseignements à propos de cette formation à Adobe Illustrator : cliquez ici.

Découvrez quelques nouvelles fonctionnalités des logiciels Adobe durant le Roadshow CS5

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Inscrivez-vous, et n'oubliez pas d'imprimer votre confirmation d'inscription et de la présenter à l'entrée, elle vous sera nécessaire pour avoir accès aux conférences.

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Le monde des couleurs : une série de trois dvd à propos de la couleur

Le monde des couleurs : une série de trois dvd à propos de la couleur



Réalisateur : Olivier Lassu
Producteurs : ARTE FRANCE, GEDEON PROGRAMMES, ELECTRIC PICTURES


Des ailes des papillons à la carrosserie des voitures, des peintures rupestres aux défilés de Christian Lacroix, un spectaculaire voyage dans le monde des couleurs.




La vision des couleurs


Pourquoi le ciel est-il bleu ? D’où nous vient la capacité de vision colorée ? Comment expliquer que les plantes ne permettent pas de teindre en vert ? Pourquoi la couleur rouge tient-elle un rôle si important dans de nombreuses cultures ? Olivier Lassu tente de répondre à toutes ces questions avec l’aide d’experts ou de praticiens de toutes disciplines – physiciens,neurologues,artistes, ethnologues, historiens, responsables marketing… Comment et pourquoi, au fil de notre évolution et de celle d’autres espèces, un processus de vision des couleurs extrêmement sophistiqué s’est-il mis en place ? La science a mis en avant le rôle fondamental de notre cerveau et commence à mesurer combien la perception des couleurs peut constituer une information vitale autant qu’illusoire.




La fabrication des couleurs


En quelques clics, l’homme est aujourd’hui capable de produire des millions de couleurs sur un écran d’ordinateur. La chose paraît presque banale, tant la couleur est désormais présente partout autour de nous. En réalité, l’exploit est de taille. Au fil des siècles, d’une civilisation à l’autre, l’homme a dû trouver des matériaux capables de colorer les surfaces qu’il désirait peindre ou teindre.




Le langage des couleurs


Si nos goûts et notre approche des couleurs semblent instinctifs, leur langage est pourtant loin d’être universel. D’une société à l’autre, d’une époque à l’autre, les couleurs et leur symbolique diffèrent. Cet épisode explore la capacité des couleurs à délivrer un message, explore la capacité des couleurs à délivrer un message, à contenir un sens et à constituer en quelque sorte un langage, avec des codes bien définis.






Louer sur le site de la médiathèque de la Communauté Française de Belgique

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